Quelques années plus tard...
... nous sommes de retour dans le Golfe: expatriation en famille (nous sommes quatre désormais) au Qatar.
Pour nous suivre: planete-montagne.fr
A bientôt !
Pierre
... nous sommes de retour dans le Golfe: expatriation en famille (nous sommes quatre désormais) au Qatar.
Pour nous suivre: planete-montagne.fr
A bientôt !
Pierre
L'ensemble de mes photos et récits sont sur www.planete-montagne.fr , en attendant de nouvelles aventures...
Pierre
Voici le dernier message du blog en direct des Emirats Arabes Unis !
Après trois années passées à Abu Dhabi, nous voici de retour en France...en attendant d'être "en direct d'ailleurs..."
Merci aux cyber-lecteurs pour leur fidelité et leurs commentaires.
Rendez-vous très bientôt sur www.planete-montagne.fr et sur les pistes de l'Alaska cet été (http://alaskatrail.canalblog.com/ )
Je continuerai à suivre l'actualité des Emirats et à vous en faire profiter sur ce blog !
A Abou Dhabi, ce ne sont pas à des courses de chevaux mais de chameaux que les habitants assistent. Et le plus étrange n'est pas toujours là où l'on croit. Reportage...
Pour visionner l'extrait du journal télévisé de TF1, cliquer ici
"Abu Dhabi - L'émirat arabe d'Abu Dhabi a la ferme intention de devenir la future "capitale du développement durable". Si ses performances actuelles laissent sceptiques quant à la possible réalisation de cet objectif, le projet de la ville s'apprête à prendre vie.
Après le projet de ville 100 % écologique implantée en plein désert, Madsar City, Abu Dhabi se fixe un objectif encore plus ambitieux, puisque l'émirat arabe compte devenir la "capitale du développement durable" et ce d'ici 2030. Notons qu'il détient actuellement l'une des pires empreintes écologiques du monde.
Pour concevoir son plan Vision 2030, Abu Dhabi a fait appel à des urbanistes canadiens, révèle Le Monde. "Les cheikhs ont compris que, avec la croissance rapide de l'émirat, quelque chose devait changer" estime d'ailleurs l'un de ces urbanistes, Michael White..."
Source:http://www.maxisciences.com
... avant notre retour en France et la fin de ce blog.
En effet, nous retrouvons un poste en France dès septembre 2009, après trois ans passés à Abu Dhabi. Le blog ne s'arrêtera probablement pas totalement mais cessera d'être "en direct des Emirats Arabes Unis".
En attendant, il reste 20 jours et les projets continuent...(Je pars cet été traverser l'Alaska à vélo : alaskatrail.canalblog.com).
Il me fallait tout de même tenter l'expérience des sports mécaniques à Abu Dhabi.
La première expérience en novembre s'est terminée à l'hôpital pour moi... Rien de grave cependant...
Accompagné de mes compères, c'est sur l'eau que nous avons poursuivi cette expérience aujourd'hui... Excepté deux paires de lunettes perdues, pas de bobo...
Merci à Seb pour les photos
"C'est un Christ montrant ses plaies. Et donc ressuscité. Cette statue en bois polychrome du XVIe siècle est exposée à l'émirat d'Abu Dhabi, en terre d'islam. Aux côtés d'une amphore grecque, d'un bouddha chinois et d'un Coran mamelouk, ce Christ fait partie de l'exposition, inaugurée mardi 26 mai par le président de la République, Nicolas Sarkozy, et par le prince héritier de l'émirat, Mohammed bin Zayed Al Nahyan. "C'est un choix très courageux et très politique, qui envoie un vrai message de tolérance", affirme la ministre de la culture, Christine Albanel.
Cette première exposition incarne l'ambition du futur Louvre d'Abu Dhabi : "Créer des ponts entre nos peuples", selon M. Sarkozy ; devenir "le premier musée universel hors d'Occident", qui couvrira toutes les époques et civilisations, ajoute le directeur de Louvre, Henri Loyrette.
Il n'y a pas de nus dans cette exposition, intitulée "Talking Art : Louvre Abu Dhabi" et présentée à l'Emirates Palace, énorme "ville-hôtel". Elle comprend dix pièces prêtées par les musées français, et dix-neuf acquises par Abu Dhabi, dont ce Christ, à propos duquel M. Loyrette confie que "la religion n'a pas été abordée", quand il s'est agi de l'acheter. On rappelle aussi sur place que l'émirat a reçu, en 2008, une exposition Picasso dans laquelle on voyait "de tout"..."
Source:lemonde.fr